La tresse : roman
Laetitia Colombani
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Livres Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document La tresse : roman 2017Afficher tous les titres de la collection "".RomanNombre d'avis des abonnés sur le document La tresse.2 avis abonnéNote moyenne des avis des abonnés sur le document La tresse.Rechercher tous les documents ayant comme Genre: RomanRechercher tous les documents ayant comme Centre d'intérêt: France
Les destins croisés de trois femmes, sur trois continents différents. En Inde, Smita est intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper aux traditions et apprendre à lire. Julia est ouvrière à Palerme. Quand son père est victime d'un grave accident, elle découvre que l'atelier familial est ruiné. Enfin, Sarah, …
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Description
- Titre(s)
- La tresseroman
- Auteur(s)
- Laetitia Colombani (Auteur)
- Collation
- 1 vol. (221 p.) ; 21 x 14 cm
- Centre(s) d'intérêt
- France
- Collection(s)
- Roman
- Année
- 2017
- Genre
- Roman
- Identifiant
- 2-246-81388-3
- Langue(s)
- français
- Résumé
- Les destins croisés de trois femmes, sur trois continents différents. En Inde, Smita est intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper aux traditions et apprendre à lire. Julia est ouvrière à Palerme. Quand son père est victime d'un grave accident, elle découvre que l'atelier familial est ruiné. Enfin, Sarah, avocate canadienne, apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Premier roman. Electre 2017
- Prix
- 18 EUR
- Editeur(s)
- Grasset
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Médias
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Avis
Des lecteurs
le 16 août 2019
La tresse
Lire! Fabuleux!
le 23 août 2022
Portraits de trois femmes vivant sur trois continents différents et qu'à priori rien ne rapproche.
« La tresse », portraits de trois femmes vivant sur trois continents différents et qu'à priori rien ne rapproche.
La première est une « intouchable » en Inde, la caste des bannis et des proscrits ; elle ne veut pas que sa fille qui a six ans vive dans les mêmes conditions qu'elle. La deuxième est une Sicilienne qui travaille comme jeune ouvrière dans l'atelier de son père et qui se retrouve à la tête de la petite entreprise familiale en difficulté financière. La troisième, une Canadienne qui correspond au profil de la femme occidentale libérée et qui veut dissimuler sa maladie à son patron et à ses collègues de peur de perdre son emploi. Trois femmes attachantes qui vont devoir se battre et lutter contre des discriminations.
Laetitia Colombani puise son inspiration dans « l'observation des femmes qui l'entourent, leur courage, leur volonté » et affirme se sentir proche de ses héroïnes. Celles-ci sont animées d'un même courage, vont se battre et refusent que la fatalité dicte leur destin.
Le roman puise sa force dans sa construction bien menée et l'habileté du scénario ; la lecture est agréable, et on comprend rapidement qu'il doit y avoir un lien entre ces trois parcours, sans toutefois savoir lequel. La figure métaphorique de la chevelure est originale, les cheveux sont signe de liberté, de vie, de force, de renaissance, de féminité. Il ne s'agit toutefois pas d'un roman féministe, comme à quoi le réduisent certains commentaires, mais d'un roman empli d'humanité, peu importe l'âge, le sexe ou la couleur des héros.
La première est une « intouchable » en Inde, la caste des bannis et des proscrits ; elle ne veut pas que sa fille qui a six ans vive dans les mêmes conditions qu'elle. La deuxième est une Sicilienne qui travaille comme jeune ouvrière dans l'atelier de son père et qui se retrouve à la tête de la petite entreprise familiale en difficulté financière. La troisième, une Canadienne qui correspond au profil de la femme occidentale libérée et qui veut dissimuler sa maladie à son patron et à ses collègues de peur de perdre son emploi. Trois femmes attachantes qui vont devoir se battre et lutter contre des discriminations.
Laetitia Colombani puise son inspiration dans « l'observation des femmes qui l'entourent, leur courage, leur volonté » et affirme se sentir proche de ses héroïnes. Celles-ci sont animées d'un même courage, vont se battre et refusent que la fatalité dicte leur destin.
Le roman puise sa force dans sa construction bien menée et l'habileté du scénario ; la lecture est agréable, et on comprend rapidement qu'il doit y avoir un lien entre ces trois parcours, sans toutefois savoir lequel. La figure métaphorique de la chevelure est originale, les cheveux sont signe de liberté, de vie, de force, de renaissance, de féminité. Il ne s'agit toutefois pas d'un roman féministe, comme à quoi le réduisent certains commentaires, mais d'un roman empli d'humanité, peu importe l'âge, le sexe ou la couleur des héros.
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