Deceiver
Diiv
Affiner le résultat de recherche avec le type de document Disques Afficher tous les documents ayant la date d'édition : , commele document Deceiver 2019Nombre d'avis des abonnés sur le document Deceiver.1 avis abonnéNote moyenne des avis des abonnés sur le document Deceiver.Rechercher tous les documents ayant comme Genre: Pop
La renaissance arrive lorsque tout s'effondre. Sur ce troisième album le groupe crée la bande-son d'une résurrection personnelle sous le poids lourd d'une catharsis métallique, soutenue par de robustes guitares et une tension vocale presque cassante. Les morceaux ont été élaborés en grande partie sur scène, au cours d'une tournée …
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Exemplaires
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Description
- Titre(s)
- DeceiverHorseheadLike before you were bornSkin gameBetween tidesTakerFor the guiltyThe sparkLoreleiBlankenshipAcheron
- Auteur(s)
- Diiv
- Collation
- 1 CD ; 1 livret
- Année
- 2019
- Genre
- Pop
- Musique
- Pop indie
- Langue(s)
- anglais
- Notes
- Textes des chansonsGAM
- Résumé
- La renaissance arrive lorsque tout s'effondre. Sur ce troisième album le groupe crée la bande-son d'une résurrection personnelle sous le poids lourd d'une catharsis métallique, soutenue par de robustes guitares et une tension vocale presque cassante. Les morceaux ont été élaborés en grande partie sur scène, au cours d'une tournée avec Deafhaven, apportant au groupe une aise et une assurance certaine lors de leur enregistrement. Pour la première fois, DIIV a fait appel à un producteur extérieur : Sonny Diperri (My Bloody Valentine, Nine Inch Nails, Protomartyr), dont la présence a considérablement élargi leur palette sonore.
- Editeur(s)
- Captured Tracks Records
Avis
Des lecteurs
le 13 décembre 2019
Un nouvel album réussi...
Le nouvel album du groupe new-yorkais nous plonge rapidement dans le rock des années 90, avec des influences shoegaze et grunge (« The spark »). Leur point fort : les guitares électriques et leurs riffs parfois heavy (« Like before you were born » ou encore « Lorelei ») qui côtoient un chant à fleur de peau et touchant, sans contraster. L’atmosphère lourde, les titres sombres et les sons qui semblent parfois étouffés instaurent une ambiance particulière mais attachante comme sur le très bon titre « Horsehead ». Enfin, le dernier titre au nom évocateur « Acheron », clôt magistralement l’album avec ses 7 minutes et son envolée guitaristique… A écouter !
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